Le magazine allemand “Der Spiegel” a pu consulter la dernière étude de l’association InterNations. Les étrangers qui travaillent en Allemagne n’ont qu’un rêve :...
Je suis travailleur frontalier depuis 10 ans et installé côté allemand depuis 5 ans, j’habite dans un village et j’ai de très bonnes relations avec tous mes voisin.e.s et collègues, on se parle ou se salue quasiment chaque jour, on s’échange des gâteaux et confitures, fait les courses ensemble.
Mais tout ça s’est aussi fait parce que dès mon arrivée dans le quartier où j’ai emménagé, toutes les maisons adjacentes ont reçu une invitation à ma crémaillère, j’ai fait bonne impression dès le premier jour. Cela dit, étant cis-blanc d’origine alsacienne et parlant couramment allemand, je joue certainement dans le mode de difficulté le plus facile, ma situation ne doit pas du tout être comparable à celle de migrant.e.s venu.e.s d’Amérique latine, d’Asie, d’Afrique.
En revanche, quand je rendais visite à ma moitié dans son appartement en ville les 5 premières années, on ne connaissait pas un seul voisin et nos seul.e.s ami.e.s étaient des collègues, la plupart d’origine étrangère (US, Egypte, Inde…). Plus les villes sont grandes plus c’est difficile de faire des rencontres, paradoxalement.
À l’époque où j’étais étudiant dans une grande ville française, j’étais aussi très isolé et je me suis tourné vers le site OnVaSortir pour faire des activités sportives ou culturelles avec des inconnu.e.s, c’est sûrement la meilleure chose à faire quand on arrive quelque part : trouver des clubs ou associations avec des personnes ayant des intérêts similaires.
Je suis travailleur frontalier depuis 10 ans et installé côté allemand depuis 5 ans, j’habite dans un village et j’ai de très bonnes relations avec tous mes voisin.e.s et collègues, on se parle ou se salue quasiment chaque jour, on s’échange des gâteaux et confitures, fait les courses ensemble.
Mais tout ça s’est aussi fait parce que dès mon arrivée dans le quartier où j’ai emménagé, toutes les maisons adjacentes ont reçu une invitation à ma crémaillère, j’ai fait bonne impression dès le premier jour. Cela dit, étant cis-blanc d’origine alsacienne et parlant couramment allemand, je joue certainement dans le mode de difficulté le plus facile, ma situation ne doit pas du tout être comparable à celle de migrant.e.s venu.e.s d’Amérique latine, d’Asie, d’Afrique.
En revanche, quand je rendais visite à ma moitié dans son appartement en ville les 5 premières années, on ne connaissait pas un seul voisin et nos seul.e.s ami.e.s étaient des collègues, la plupart d’origine étrangère (US, Egypte, Inde…). Plus les villes sont grandes plus c’est difficile de faire des rencontres, paradoxalement.
À l’époque où j’étais étudiant dans une grande ville française, j’étais aussi très isolé et je me suis tourné vers le site OnVaSortir pour faire des activités sportives ou culturelles avec des inconnu.e.s, c’est sûrement la meilleure chose à faire quand on arrive quelque part : trouver des clubs ou associations avec des personnes ayant des intérêts similaires.
Très intéressant, merci pour ton retour!