Going opt-in instead of opt-out does not change the fact that I would still have to toggle the features manually.
To be more specific, my use case is that I have a program to control cameras in my lab. But not all computers have the libraries for all cameras. So, every supported library can be enable/disable using a feature
But the program being still in active development, I am frequently using cargo run
, cargo check
, cargo install
, on different computers with different libraries installed.
What would be convenient would be to have a configuration file on each computer, specifying that we will build only for PCO camera on this computer, only for Photometrics camera on this one, only Ximea and PCO on this one, instead of having to remember to toggle the relevant features every time.
A shell script is not very convenient because I use different commands, run, check, install etc.
This would look like it would be what I am looking for, but the documentation of the configuration file does not mention features.
Thank you very much for your reply. I have tried the approach you explain in your blog post, and it works. Your blog post is useful and clearly written !
Fascinating. I heard something similar with particle pollution in big cities.
Certains n’ont jamais abandonné leur langue (notamment dans la campagne), et adorent raconter comment ils étaient punis à l’école parce qu’ils parlaient breton. Mon beau-père rencontre régulièrement des gens dans les commerces, à la plage ou autre, et leur parle en breton. Et pas le breton appris de maintenant…
Ma belle famille est totalement bretonnante. Mon beau père a appris le français à l’école (il a bientôt 70 ans). Je les entends parler breton et surtout utiliser le breton natif (versus celui appris en Skol Diwan) comme un shibboleth pour reconnaître le « vrai » breton du néo-breton. En tant que sudiste, j’ai bien senti plusieurs fois que j’étais quand même un estranger. Saint-Brieuc est un peu à l’est, à la limite du pays gallo. Plus à l’ouest ou dans les terres, il y a des bretonnants mais ils vont pas te le montrer forcément. J’ai constaté qu’il n’y a pas de volonté de transmettre la langue qu’il veut garder comme shibboleth. C’est très différent de mon expérience en Grèce où les amis m’ont appris beaucoup de culture et de langue, et avec joie et entrain. Je sais pas ce qu’il en est des corses, mais les tags mentionnés par OP me mettent mal à l’aise, mais je suis influencé par mon ressenti avec la belle famille bretonne.
Je comprends et en même temps j’ai l’impression que les gens sur ce genre de position ne voyagent peut être pas souvent. Je suis amené à voyager professionnellement (principalement en Europe mais un peu au delà aussi). Quand je vais une semaine en congrès en Pologne, République Tchèque, Autriche, Finlande, Suède, Japon, Chine, Hong Kong, etc pour rencontrer des collègues d’encore d’autres pays, je suis censé apprendre toutes les langues ? En pratique, j’essaie effectivement de le faire, mais c’est quand même un niveau d’exigence assez élevé. Et tout le monde n’est pas passionné de langues. Je connais quelques mots de grec, mais je passe quelques jours en Italie sur le chemin. Je suis illégitime à rester quelques jours en Italie si j’apprends pas l’italien ? Je suis pas contre le régionalisme lorsqu’il est inclusif (cf La Découverte ou L’ignorance de Tri Yann pour une culture et identité bretonne inclusive et ouverte). Quand c’est un voile pudique pour cacher de la xénophobie 🤮 J’ai déjà croisé des touristes étrangers qui ne parlent pas français, j’ai toujours essayé de leur répondre dans mon meilleur anglais, parce que je sais ce que c’est d’être perdu dans un pays étranger.
À peu près autant que les gens qui apprennent le provençal avant d’aller en Provence. Jamais vu de tags de cette nature en Provence par contre. En Bretagne un peu mais nettement moins. Jamais vu non plus de touristes apprendre le breton. Ou le basque. Ou le chti. En ce qui me concerne j’ai renoncé à aller en conf à Cargèse à la fois pour des raisons écologiques (une conf sur une île, quoi de pire?) et parce que j’ai pas envie d’aller dans un endroit où je ne suis pas bienvenue. Je serai favorable à ce que le CNRS ferme le centre de Cargèse. Mais que les corses se rassurent, avec le réchauffement climatique, les touristes iront plus au nord.
J’ai l’impression qu’ils s’affolent pour pas grand chose. Les collègues qui travaillent sur le quantique en sont à travailler pour augmenter le temps de cohérence d’une poignée de qbits. Les rares résultats obtenus avec algos quantiques restent très largement calculables avec un ordi classique. Pour l’instant c’est surtout de la comm pour récupérer des financements, publics ou privés, pour développer les dispositifs mais ça parait encore très loin d’une application. Ça arrivera peut être un jour mais pas tout de suite…
Malheureusement garder les billets actuels ne fait pas partie des choix qu’ils proposent…
Ça sera parfait pour les kroketten 🤣
Moi je suis globalement d’accord que tout ce qui est fait jusqu’à maintenant n’est que de la communication et a peu d’effet. Mais si on a un discours trop pessimiste, on arrivera pas à motiver les gens pour aller vers et accepter des changements plus radicaux. Si c’est foutu, pourquoi faire des efforts?
Même si la situation est pas glorieuse, et qu’on est bien parti pour aller au delà de 1.5°C, il faut essayer de rester optimiste. Le discours “c’est foutu” est dangereux parce qu’il incite à ne rien faire. Or, si on ne fait rien, ça sera pire. Voir par exemple: https://bonpote.com/cest-trop-tard-on-est-foutus-pourquoi-cest-faux-et-comment-y-repondre/
Ok, I’ll look into that then. Thanks.